L’œuvre foisonnante du cinéaste franco-suisse semble happée par le côté obscur des êtres. Mais, à 82 ans, il dédie un film lumineux à son ami peintre Ricardo Cavallo.

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Les Films du Losange
Barbet Schroeder chez lui à Paris dans le XVIe arrondissement le 25 octobre 2023 : “Être trop conscient de soi empêche de se surprendre.”

Barbet Schroeder chez lui à Paris dans le XVIe arrondissement le 25 octobre 2023 : “Être trop conscient de soi empêche de se surprendre.” Photo Jérôme Bonnet pour Télérama

Publié le 13 novembre 2023 à 10h00

Il sourit tout le temps. Et rit même, avec un plaisir gamin, en vous racontant comment il a manipulé Amin Dada pour un documentaire ou pourquoi il a failli se couper lui-même le petit doigt. Rien ne semble pouvoir entamer Barbet Schroeder, 82 ans, et toujours cette allure folle de baroudeur chic dont la filmographie reste l’une des plus fascinantes du cinéma international.

Fondateur des Films du losange, à 22 ans, par admiration pour Éric Rohmer, réalisateur des documentaires que l’on nomme dorénavant « la Trilogie du mal » (Général Idi Amin Dada : autoportrait, en 1974 ; L’Avocat de la terreur, en 2007 ; Le Vénérable W., en 2016), il a signé une œuvre de fiction aussi

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